Propriété du patrimoine:
Les lois sur l'héritage varient considérablement entre les systèmes juridiques islamiques et canadiens, en particulier pour les familles musulmanes de pays non musulmans comme le Canada.
Le système juridique canadien : suit la " libre aliénation des biens ", accordant aux individus la liberté de gérer leur patrimoine comme ils l'entendent, y compris les dons de bienfaisance et la distribution de la succession.Le droit islamique : Il est fondé sur la foi et comporte des directives plus strictes en matière de dépenses, de charité et de planification de l'héritage. Il impose des limites aux décisions financières.
Système de distribution:
Le droit islamique: Adhère à un système de succession uniforme, garantissant une répartition équitable entre les héritiers. Cette approche structurée minimise les conflits et les litiges.Le système juridique canadien : Il n'y a pas de système de succession uniforme, ce qui permet aux individus d'avoir une plus grande flexibilité, mais peut entraîner des désaccords et des litiges sur la répartition de la richesse.
Le système juridique canadien : Il n'y a pas de système de succession uniforme.
Droits:
La loi islamique: reconnaît l'héritage comme un droit fondamental pour chaque musulman, comme le stipule le Coran. Il n'exempte pas les héritiers potentiels sur la base de conditions frivoles, garantissant l'héritage à tous les bénéficiaires éligibles.Système juridique canadien : Bien qu'elles ne soient pas directement liées à des principes religieux, les lois canadiennes sur l'héritage n'imposent pas de droit universel, ce qui peut conduire à des situations où des héritiers peuvent être exclus pour diverses raisons.
Les lois canadiennes sur l'héritage ne sont pas liées à des principes religieux, mais à des principes religieux.